Chez Ollivander

En entrant, Nerwen sentit cette odeur un peu familière, qu'elle avait l'habitude sentir chez ses grand-parents les rares fois qu'elle y allait. Une odeur un peu sucrée, mélangée à un zeste de poussière...

Elle s'avança vers le comptoir où un homme âgé époussetait des étagères derrière lui. Elle l'observa quelques instants, il n'avait pas l'air de l'avoir entendue entrer.

- Monsieur Ollivander? Je suis désolée de vous dérranger, mais j'aurais besoin d'une baguette pour ma première année...

Le vieil homme sursauta en se retournant, puis sourit à la jeune cliente qui se tenait devant lui.

- Oh monsieur je m'excuse de vous avoir...

- Ce n'est rien mon enfant. Que puis-je faire pour toi? Ah oui! Une baguette magique. Suis moi.

Il se dirigea entre deux allées entièrement remplies de boîtes, contenant surement une baguette chacune d'après la jeune fille. Il grimpa à une échelle et saisit une boîte parmis bien d'autres.

- Agite-la un peu.

Elle la prit dans sa main droite, et en la secouant elle fut surprise de constater que de petites étincelles rouges et bleues en sortaient, un peu comme une fontaine miniature.

- Bien, c'est une chance de voir que le premier essai a fonctionné! Si vous saviez le nombre de choses que je dois replacer ici...

-Merci infiniement monsieur, je vais la prendre!

Après un petit tour à la caisse, elle sortit enfin vers le chaudron baveur, question de boire un petit peu avant de contibuer ses emplettes.

[next post: chaudron baveur]

Wizzer rentra dans la boutique, de loin elle avait put voir uen autre fille d'environ son âge en sortir. Elle observa le magasin un moment puis l'homme s'approcha d'elle.

" Une baguette, laissez moi prendre vos mesures"

Wizzer leva un sourcil, puis laissa le mètre de l'homme prendre les mesures. D'ailleurs le mètre commença à vite l'énervé à prendre des mesures n'importe où. Pendant ce temps là, l'homme était partie prendre une boîte. Il l'ouvrit et tendit la baguette à la jeune fille.

" Allez-y, agitez un peu."

Wizzer la prit dans sa main droite, rien ne se fit, elle essaya avec sa main gauche, habituer à l'utiliser en plus en escrime. Rien de plus ne se produisit.

" Hum peut-être celle-ci alors."

La deuxième baguette était plus courte que la précédente, Wizzer l'essaya, elle sentit une sorte de picotement au bout de ses doigts. Puis un éclair blanc sortie de la baguette.

" Bien, très bien, je vois qu'elle vous a trouvez."

Wizzer leva à nouveau un sourcil interrogateur, mais ne chercha pas plus loin. Elle paya le marchant et le remercia sans prononcer de mots superflut. Puis sortie tranquillement de la boutique.

Dans son dos, l'homme murmura quelques mots.

" De grandes choses, de grandes choses l'attende. Cette baguette est unique dans son style, et puissante."

[next post le marchant de balai]

Nicolas pénétra dans la boutique d'ollivander. il fur surpris par la hauteur des étagères et le nombre de petites boîtes empilées les unes sur les autres....
*comme dans un magasin de chaussures*
Visiblement, le propriétaire était occupé avec une jeune fille qui devait avoir à peu près le même âge que lui. Après un essai infructueux, elle semblait avoir trouvé celle qui lui convenait... Et elle ne semblait pas fâchée de quitter la boutique

Nicolas continua à flaner, sans surtout ne rien toucher... on ne sait jamais!

- Euh... bonjour Monsieur, je voudrais une baguette, ce la fait partie de mes fournitures scolaires...
- Mais bien sûr, jeune homme.

il partit fouiller dans ses étagères et revint avec 2 boîtes.

-Essayez celle-ci: 27cm, bois de saule et vibrisse de chat.
il tendit la baguette à Nicolas qui la regardait avec un air niais.
-Certes, M. Ollivander, mais comment ça marche?
- Il faut l'agiter.
-Ah, ok...

Ponk!!! Le lustre venait de tomber et un nuage noir venait d'envahir la pièce... Nicolas rendit la baguette, l'air décontenancé...

-Non, non, non, essayez celle-ci alors: 33cm, bois d'olivier et plume d'hippogriffe.

Et, là, un crépitement se fit entendre dès qu'il toucha la baguette et Nicolas cru que son corps quittait légèrement le sol.
-Parfait, mon garçon, parfait!!! Un bois que j'utilise depuis peu et qui semble bien fonctionner. Puissiez-vous accomplir de grandes choses tous les 2.
-Merci, M. Ollivander. Voilà 7 Gallions. Au plaisir de vous revoir.

Nicolas quitta la boutique de baguettes magiques pour se rendre à la librairie...

:arrow:Next post, Flurry et Botts

En rentrant, Chrystale eu une grimaçe de dégout. L'endroit était petit, sombre, confiné. Espérant que trouver sa baguette serait rapide, elle se dirigea vers le comptoir, où un petit homme l'accueillit avec un sourire édenté. Il avait une voix désagréable, doucereuse.

"Bonjour Mademoiselle Thomas. Vous avez l'air surprise de voir que je connais votre nom ? Voyons, vous ressemblez très pour trait à votre mère. Une baguette j'imagine ? je ne pensais pas que vous iriez à Poudlard, mais c'est très bien comme ça... Oui...Enfin, je pense..."

Elle le regarda fixement. Cet homme devait être fou. De quoi parlait t'il ? Elle se tourna vers Euristie, mais elle affichait un air gêné. Tout le monde devient fou, soupira Chrystale. Elle se dirigea vers l'homme qui commença à prendre tout un tas de mesures.

"De quel main vous écrivez ?", lui demanda t'il.

"Gauchère."

Il plongea derrière son comptoir brusquement, avant d'en sortir une baguette, avec un grand sourire réjoui.

"21 cm en bois d'acajou avec un pétale de lys. Je suis sur que c''est elle, j'en mettrais ma main à couper."

Elle hocha la tête machinalement, avant de se saisir de la baguette, et de l'agiter d'un petit geste de poignet. Au bout de la baguette apparurent des étincelles.

"Bien, votre baguette vous a choisi, mademoiselle."

Euristie, qui semblait pressée, se dirigea vers le comptoir pour payer, tandis que Chrystale admirait sa baguette magique, faisant de grands geste avec.

En sortant du magasin, Mr Ollivander lui lança d'un ton qui se voulait gentil.

"Au revoir Mademoiselle. Bonnce chance..."

Elle jeta un regard perplexe à Euristie, tandis que la porte se refermait sur le vieil homme.

"Euristie ? De quoi parlait cet homme ?"

"Euh... Je ne sais pas Mademoiselle... Vous voulez que je vous achète quelque chose à manger ?"

Chrystale lui lança un regard éloquant, avant de se détourner d'elle, surprise du comportement de la gouvernante, et de lui répondre d'un ton froid.

"Non, c'est bon. je suis fatiguée. Rentrons."

Elles quittèrent le Chemin de traverse et retrounèrent dans la demeure où habitait Chrystale.

[Next post : y'en a pas, j'a fini ma liste de fournitures]

Julia entra dans la boutique

- Bonjour Monsieur Ollivander désolée de vous dérangée mais j'aurais bensoin d'une baguette magic pour aller au College Poudlard

- Biensure jeune demoiselle je vais chercher le metre ruban il faut prendre vos mesure

Monsieur Ollivander revena avec un mettre ruban qui pris toute les mesure necessaire

- De Quelle Main tenez vous votre Baguette Jeune fille
-De la droite monsieur


Alors Monsieur Ollivander alla deriere la boutique et alla chercher une baguette pui il revena et donna la baguette a la jeune fille en disant µ

- Il faut la secouer

Julia pris la baguette et la secoua

des etincelle sortit alors de la baguette et Mr Ollivander disa aussitot

-Magnifique voila votre Baguette jeune fille une baguette de 25 cm en bois de chêne avec une plume de phoenix.

- Oki merci aurevoir Mr Ollivander

Julia paya la baguette et sorta du magasin

(Next Post Chemin de Traverse )

Mikael entra dans la vieille boutique poussièreuse et ne fut pas surpris de voir trois autres enfants qui devaient avoir environ son âge. Le peu de politesse qu'on lui avait inculquée refit surface et il enleva sa casquette pirate.

Il s'approcha ensuite des autres futurs élèves de poudlard et les salua. Il demanda ensuite s'ils n'avaient pas vu le sorcier qui tenait la boutique.
Comme il posait la question, un vieil homme à l'air farfelu surgit devant lui. Mike sursauta tout d'abord, puis son coeur reprit un rythme normal et il s'adressa au sorcier :

- Bonjour! Je voudrais vous acheter ...

- Une baguette ! s'exclama Ollivander l'air enjoué. Il ajouta plus bas : Suivez moi, je vais prendre vos mesures ...

Intrigué, le garçon le suivit un peu plus loin où le vieux sorcier lui demanda de quelle main il écrivait. Mikeal répondit qu'il était droitier et tenta de poser quelques questions sur les baguettes mais à chaque fois, le vendeur l'interrompait par des exclamations qui n'avaient pas vraiment leur place dans la "conversation".

Mike se laissa sagement mesurer la longueur du bras, l'écartement des narines et l'épaisseur de son pouce gauche. Là, Ollivander lui tendit une boite.

Curieux, le garçon l'ouvrit et y trouva une simple baguette de bois. L'air légèrement déçu, il s'adressa au vieux sorcier :

- Elles sont toutes comme ça ?

- Oh, l'apparence n'y est pour rien dans sa puissance, mon enfant. Agite là donc.

Mike obéit et agita la baguette dans la vide. Il se sentit sur le coup un peu ridicule et faillit rougir, mais se contenta de hausser les épaules et de demander s'il avait fait ce qu'il fallait.

- Oui oui, oui ... Ce n'est pas la bonne ...

Il retourna fouiller dans l'arrière boutique et revint cete fois avec une boite un peu plus longue.

- Essaie celle-là, lui dit-il en lui tendant la baguette. Bois de chêne, et crin de licorne, précisa-t-il avec un clin d'oeil qui fit sourire Mikael, un peu plus à l'aise.

Il s'en saisit et sentit comme un frisson lui remonter le bras. Il donna un élégant coup de baguette dans le vide, et aussitôt la pièce s'éclaira pour quelques secondes.

- Ho ho ho, rit doucement le vieux sorcier. On dirait que c'est la bonne ...

Il sourit d'un air plus fou que jamais et reconduisit le jeune garçon dont le sourire ne s'effaçait pas dans la pièce principale. Ce dernier paya son acquisition et rangea précieusement la baguette dans sa poche.

Il remercia le vieil homme et sortit de la boutique, le coeur léger, révant déjà des sorts qu'il pourrait jeter avec sa baguette.

[next post : allées et venues sur le chemin de traverse]

Sarah le regarda d'un air interrogateur

-Et bien je croyais que la galanterie avait disparue moi...

Elle garda un air sérieux pendant quelques secondes puis tapotta sur l'épaule de Ryan

-Mais non cousin je blague! Bah va-y à toi l'honneur! Comme le dit le dicton: l'age avant la beauté!

Elle sourit à cette phrase, c'était encore une petite note d'humour (Hrp:ben ouais on sait jamais certains ne pourraient pas comprendre XD) Ryan était à peine plus vieux qu'elle et elle n'était pas spécialement jolie d'après ce qu'elle pensait d'elle.
Elle jeta un oeil à Laurana

-Par contre avec toi ce dicton ne marche pas, mais je passerais après toi.

Dit elle à Lauranna en haussant les épaules

La jeune demoiselle abordant une grande cape bleue entra en passant devant son jumeau qui inspirait les manières de galanteries. L’enfant se rappelait à quel point son père avait insisté pour tout lui apprendre, la jeune femme sourit à l’évocation de ce souvenir coquet. Elle le remercia en inclinant légèrement la tête sur le côté et fit passer sa petite sœur avant de franchir la porte de la minuscule boutique. La future étudiante à l’école de sorcellerie Poudlard secoua le bas de sa cape bleue marine afin d’enlever la poussière qui s’était amassées sur celle-ci.

À peine Laurana avait-elle levée sa tête qu’elle admirait déjà la mignonne petite boutique de baguettes. Tout avait l’air extrêmement vieux dans la pièce, du siège aux étagères. Le petit bureau où avait été posée une antique caisse semblait daté du 18ème siècle. Malgré l’air sale du magasin, tout était parfaitement en ordre, comme si les baguettes attendaient patiemment leurs propriétaires. On pouvait croire que les boîtes dans lesquels avaient été entreposés les objets magiques allaient tomber en poussières au moindre mouvement. Les fenêtres avaient du assister à plusieurs évènements importants car la saleté avait formé des couches et des couches de poussières dans les carreaux.

Quelque chose chatouilla le nez de l’Irlandaise qui éternua en poussant un petit « tchou! ». Elle remarqua que toute la poussière flottant dans l’air en était la cause. Laurana effectua un petit mouvement de main afin d’écarter les particules de saleté contenues dans la pièce. La demoiselle rit à la blague de sa chère petite sœur et avança avec précaution dans la boutique. Elle vit une silhouette masculine incliner sur un paquet de boîtes poussiéreuses et se dirigea vers la personne.

Laurana arriva derrière l’homme et lui tapota légèrement l’épaule afin d’attirer son attention, ce qui fit sursauter la personne concernée. Elle sourit et s’inclina poliment devant son aîné, M.Ollivander. L’Irlandaise allait prendre parole lorsque le vieux caissier lui fit signe de se taire. Il replaça ses petites lunettes de lecture sur son nez et dirigea son regard de haut en bas pour essayer de reconnaître Laurana. Après quelques secondes, qui parurent une éternité pour la jeune femme, le vieil homme sourit et s’exclama.

-Mais vous êtes une Mooney! La fille de Lean et Elrina si je me souvient bien!?

Laurana observa Mr. Ollivander s’activer parmi ses paquets poussiéreux, le vieil homme n’avait pas répondu aux questions du jeune Ryan Mooney, mais il avait compris l’empressement dans lequel ils se trouvaient; la rentrée scolaire arrivait à grand pas et leurs achats n’étaient pas encore finis, ce pourquoi il lançait des paquets en chêne un peu partout dans la pièce en désordre. La jeune femme se demandait quelle sorte de baguette elle aurait… Serait-elle identique à celle de son jumeau? Et comment serait celle de sa chère cousine? L’irlandaise espérait avoir une baguette semblable à celles de sa famille. En tant qu’aînée, Laurana Delany Áine Mooney se devait d’être exactement comme ses ancêtres et se conformer aux traditions persistantes. Si elle ne se montrait pas à la hauteur, sa place serait donner à une autre personne et ça, elle ne pouvait le tolérer après touts les efforts fournis. De plus, être la digne héritière n’était pas de doux repos, toutes ces responsabilités pour une jeune personne étaient difficiles à supporter. Savoir que l’on ne se marierait pas avec la personne que l’on aimait était susceptible à la mélancolie. Son fiancé, par exemple, l’avait dégoûté de ce monde de noblesse… Elle frissonna en pensant à cette personne manipulatrice et violente, pourquoi devait-elle épousé CE garçon, il y avait sûrement d’autres bon prétendant dans la famille? N’était-elle pas nombreuse? Laurana aurait voulu avoir autant de chance que sa mère et son père et de tomber amoureuse de son fiancé, mais ce n’était pas le cas, bien au contraire et malheureusement pour elle. Parfois, la lady se demandait si elle était le pantin de sa famille, mais en voyant les expressions sincères sur les visages de son père, sa mère, son frère ainsi que sa cousine, elle se doutait bien que cela était faux. La demoiselle sortit de ses pensées noires en reposa ses yeux forêt sur l’homme se dirigeant vers eux. Le propriétaire de la boutique Ollivander revint en brandissant fièrement des paquets de baguettes, tous aussi vieux les uns que les autres. Il n’eut pas le temps de dire un mot qu’une petit souris se faufilait sous son bureau, la vieillard se mit à courir dans touts les sens à la recherche d’un piège, ou d’un balais… Il lâcha touts les boîtes contenant les baguettes et couru vers son bureau. Monsieur Ollivander eut tout juste le temps de crier entre deux souffles :

-Essayer-les!!!

Les trois Mooney s’exécutèrent aussitôt, riant trop pour essayer de poliment le cacher. Le résultat : un magasin encore plus en désordre et 3 magnifiques baguettes convenant parfaitement aux trois personnes. Sarah eut droit à une baguette souple de 30 cm fait de bois d'olivier, contenant une plume de pheonix, Ryan opta pour une baguette de 31 cm, fait en bois d’ébène contenant une pétale de rose, Laurana, quant à elle, trouva une baguette longue de 50 cm fait de bois de cerisier contenant des fleurs de cerisier, des pétales de rose ainsi qu’une plume de pheonix. L’aînée sortit son petit portefeuille noir et donna l’argent du au caissier qui avait enfin capturer la souris. Les trois enfants partirent en pouffant de rire jusqu’à la prochaine boutique.

axel entra dans la boutique de baguette et chercha le vendeur des yeux
-il y a quelqu'un ?

mr ollivander arriva posant des paquet de baguette sur son bureau

-bonjour que puis-je pour vous ?
-voila je vous apporte ma baguette car j'aimerais qu'elle soit...réparer si je puis dire,elle a une longue entaille qui la sépare presque en deux

monsieur ollivander pris la baguette et l'examina

-je vous fait ça tout de suite

il disparut dans l'arriére boutique et revient 10 mn apres déposant delicatement la baguette

-essayé pour voir

axel pris la baguette et fit un sort tout simple de base

-exellent c'est du trés bon travail monsieur je vous doit combien ?
-les tarif son là

axel déposa la somme sur le comptoir et partie

Océane entra dans le magasin. Elle regarda autour d'elle. Tout était poussièreux.

'' beurk y pourrait pas faire le ménage défois. ''

C'est à ce moment là que m.Ollivenders arriva et lui dit:

'' ha salut mademoiselle !! je connais vos parents !! vous ressembler comme deux goute d'eau à votre mère. mais par exemple. votre mère était un peu plus poli ''

Océane faisait comme si elle avait rien dit et répondu froidement:

'' es-ce que vous connaissez tout les jeunes ?? ''

'' oui on peux dire !! '' dit-il en cherchant une baguette '' ha et voila tenez ça ''

Océane pris la baguette et rien ne se produit. M.Ollivenders repris la baguette vite avant qu'Océane ne puisse l'agiter et alla en chercher une autre. 10 minute passère et enfin on trouva la bonne baguette.

'' tenez celle-ci ''

Il lui l'a donna et un courant d'air de poussière se fit. Ce qui voulait dire que c'était la bonne.

'' et voila on n'a trouver. ''

'' mouin c'est combien la baguette ''

'' 7 gallions ''

Océane lui donna les gallions. Elle sorti de la boutique mais elle dit un petit merci froidement et sorti pour de bon.

Akasha entra dans le magasin et eut la sensation de revenir chez sa grand mère, qui sois dit en passant est complètement sénil et reste toute ses journées assise dans son fauteuille a regarder sa baguette.
Elle avança jusqu'au comptoir et observa Ollivanders fouiller dans ses boites.
Elle sourit elle fit sonner la sonnette.

-Oui... oui je suis là...

Akasha souria de plus belle et recommança aà sonner.

-J'arrive ! grogna le vendeur.
Il releva la tête et la regarda ensuite prit une baguette et la rejoignit.

-bonjour...
-Akasha, c'est bien ça?
-oui oui...
-c'est bien ça... je t'ai tout de suite reconnue... voila essaie celle-ci!

Akasha fit quelques gestes qui furent assez désagréable pour Ollivanders qui retrouva ses orreilles collées a ses genoux...

-Hum! Akasha fait attention a ce que tu fais bon dieu!
-oups!
-que dis tu? je n'entend plus rien..
Attend je vais les remettres a leurs places!

Ollivanders les remis en place et akasha pouffa de rire puis il lui tendit une autre baguette et se plaqua les main sur les oreilles...
Akasha fit apparaitre un jet de flammes et brûla le reste des cheveux du vendeur...

-oups! Je crois pas que c'est celle la qu'il me faut...
-Je suppose que tu a deviner ça toute seule!!!

ollivanders sortit une baguette pris un des doigts d'akasha et formula une formule.

-ok maintenant je sais c'est laquelle qu'il te faut... attand moi ici et ne touche a RIEN!

Olivanders revint 10 minutes plus tard avec une boite et tendit une baguette a akasha, quand elle la prit en main elle fut parcourue d'un frisson et sut que c'était la bonne...

- enfin!!! bon c'est bonne baguette : bois d'acajou, poussière de lune et parfum de fée, très souple et maniable. Elle est faite pour les sortilèges très puissant.

Il rangea la baguette dans la boite en grognant

-J'avais déjà eu beaucoup de mal avec votre mère mais alors vous...

Akasha souria et lui tendit les gallions puis sortit.

Elvira croisa une jeune fille qui sortait de la boutique en poussant la porte. Monsieur Ollivander avait l'air exténué et tout autour de lui se trouvait une pile de baguettes dans des boîtes, ouvertes pour certaines. Elle s'avança prés du comptoire, enjambant les quelques boîtes qui jonchaient le sol. Elle aurait pu marcher dessus, mais une potentielle baguette aurait pu s'y trouver. L'homme lui tendit une première baguette avant qu'elle ait pu dire quoique ce soit, ce qu'elle n'aurait peut-être pas fait !

- Tenez, essayez celle-ci petite jeune fille. Bois de rose et plume de Phoenix, 23.4 cm, trés bonne facture.

Elvira s'en saisit l'agita légèrement sans que rien se passe.

- Dépéchez-vous, je n'ai pas toute la jounée ! ordonna-t-elle.

- Oh ! Je vois, un caractère impétueux et une grande exigeance... Je reviens.

Il disparu dans l'arrière boutique et revint avec une nouvelle pile de baguettes, probablement classée par style de personne ? Par maisons éventuelles ? Encore un mystère à élucider... A chaque baguette qu'elle saisissait, le propriétaire lui indiquait les références de celle-ci, jusqu'à ce que quelque chose explose et qu'il ordonne à Elvira d'en prendre une autre.

- Bon, écoutez, ça suffit, si vous ne me trouvez pas une baguette dans les dix secondes qui suivent, je fais un scandale ! tout en disant cela, elle agitait une dernière baguette sous le nez d'Ollivander, d'une manière fort menaçante, qui étrangement semblait satisfait. En effet, de belles étincelles violettes et or volettaient dans la boutique.

- Et bien voilà ! J'en étais sur ! Merisier, ventricule de dragon, je me souviens même d'un anecdote, le dragon en question a griévement blessé mon correspondant en Bulgarie... Une baguette trés fiable, bonne qualité, parfaite pour les enchantements et...

- Taisez-vous donc !

Elle attrapa sa baguette la remit elle même dans sa boîte et laisa l'argent devant l'homme qui soupira :

- Et bien ! J'ai bien fait de ne pas devenir professeur !